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Candidature de José Bové
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6 avril 2007

Meeting d'Ales Bové & Besancenot Arsenal

Meeting d'Ales

Ales_08






Arrêt du gulfstream
envoyé par masavi




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Keny Arkana > Autre Monde Possible
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DE BOVÉ À BESANCENOT ?


Lettre ouverte à Michel Onfray

par Yannis Youlountas, porte-parole de José Bové

L’engagement d’un intellectuel dans une campagne électorale est-il du même ordre que celui d’un turfiste essayant de parier sur le meilleur cheval ? Un philosophe doit-il s’attarder sur le résultat plus que sur le sens ? Un libertaire peut-il préférer les chefs de parti aux groupes autogestionnaires et métissés qui tentent de réinventer la politique ?

Telles sont les trois questions fermées que je souhaite te poser tout d’abord, Michel. Trois questions auxquelles répondre NON implique, à mon humble avis, l’examen approfondi d’une posture qui me semble absurde et pour le moins contradictoire.

Comment l’homme qui m’a répondu « banco » le 30 décembre en vue de l’appel du 6 janvier peut-il renier le résultat de ce qu’il a contribué à porter ? Comment l’idéologue qui a cosigné avec moi un appel aux libertaires le 1er février dans Politis peut-il retourner à son « soutien par défaut » de 2002 pour le candidat d’une « chapelle » troskiste ? Comment le philosophe qui a décrit et salué la « réappropriation de la politique », avec Raoul Marc Jennar et moi-même, dans L e Monde du 13 février, peut-il abandonner l’élan vital que constitue l’irruption citoyenne dans la chasse jusque-là gardée des partis politiques ?

Tu sais que je ne suis pas de ceux qui t’attaquent régulièrement pour certaines de tes positions sur des sujets délicats. Je ne suis pourtant pas de ton avis sur l es OGM, le nucléaire, le clonage, l’usage massif des médias, ou encore le dialogue courtois avec les ennemis politiques (car Nicolas Sarkozy n’est pas seulement un adversaire ou un contradicteur mais un véritable fossoyeur de tout ce qui constitue le bien commun, la fraternité universelle et la liberté d’opinion). J’ai même défendu ton droit à la différence dans une contribution au site unisavecbove.org (Pour Michel Onfray). Cela parce que la particularité de notre candidature collective se situe d’abord dans sa diversité et donc dans son ouverture au débat, loin des idées reçues, des dogmes historiques et des sectaris mes idéologiques. Chez nous, dans la campagne Unis avec Bové, tout doit pouvoir se dire et se discuter, se revisiter, se réexaminer, se réinventer.

Je sais que beaucoup d’écrits t’ont visé dans nos propres réseaux, venus de certains de nos militants, et que cela t’a profondément attristé ces dernières semaines. Paul Ariès, lui-même, l’un des idéologues contemporains de la décroissance, nous a épinglé tous les deux, dans un pamphlet (José Bové, le candidat condamné) qui t’a sans doute heurté. Nous sommes tous sujets à critiques dans un mouvement pluraliste et très contrasté. N’est-ce pas logique et même désirable ?

La principale difficulté de la candidature collective aux côtés de José Bové est d’être, chacun, des hommes comme les autres, et non des leaders, des chefs, des experts, des monstres sacrés, des personnalités indiscutables, louées, adulées, rompant le pain béni de la vérité officielle, inscrite dans la bible programmatique du parti, et à peine r&eacu te;interprétée, année après année, de campagne en campagne. José lui-même est l’objet de critiques régulières, bien que fraternelles, et celui-ci les accepte bien volontiers pour une grande part, en se prêtant au débat avec tous ceux dont il n’est que le principal porte-parole et non le chef dont on devrait boire les paroles.

Telle est la campagne que tu as décidé de quitter : celle des citoyens décidés &agr ave; se réapproprier la politique par-delà les appareils et leurs directions bien peu renouvelées. Peut-être José est-il un éleveur de brebis et un fabricant de fromages et de yaourts fermiers… Mais les bergers ne sont pas toujours où on les suppose. Et je crains fort que tu n’aies malheureusement choisi de revenir à la chaleur du troupeau, bien loin de ta fameuse introduction à Politique du rebelle. De ces troupeaux de citoyens qui se font traire les uns après les autres, à chaque échéance électorale. De ces troupeaux qui perpétuent la tradition de suivre les Panurges, à l’exception de quelques moutons noirs parmi lesquels tu manques.


Y.Y.


LE COMITE DE SOUTIEN RHONY VIDOURLE A LA CANDIDATURE DE JOSE BOVE

PROPOSE 2 RENCONTRES CITOYENNES LE 12 AVRIL A SAINT CÔME ET LE 18 AVRIL A VERGEZE

Pourquoi j’ose BOVÉ !

vUrgence Sociale

vUrgence Environnementale

vDroits, Libertés, Constitution

VENEZ EN DISCUTER AVEC NOUS

LE JEUDI 12 AVRIL 18H15

MAIRIE DE SAINT CÔME


Pourquoi j’ose BOVÉ !

vUrgence Sociale

vUrgence Environnementale

vDroits, Libertés, Constitution

VENEZ EN DISCUTER AVEC NOUS

Le MERCREDI 18 AVRIL 20H15

CAFE DE LA GARE

RUE NEUVE VERGEZE

 

 Le vote pour José Bové :

 

C'est le seul vote pour construire une force de gauche antilibérale, unitaire, rassemblée enfin !

Oui une alternative est possible pour refuser un système fondé sur le profit. Le monde est en marche contre l'écrasement du plus grand nombre par une minorité possédante.

 

Nous voulons une société qui fasse progresser les droits individuels et consolide les droits collectifs, les services publics, tous les biens communs, qui combatte les nuisances, ne mette plus en péril la vie des humains, protège la planète et les espèces qui l'habitent.

 

C'est le vote qui fait entrer les colères dans les urnes. Le rassemblement pour agir dans toutes les mobilisations pour combattre et battre la droite, au premier comme au second tour, et dans toutes les luttes à venir.

 

C'est le vote qui permet de battre la droite sans sombrer de nouveau dans une gauche plurielle dominée par le social libéralisme.

 

Notre volonté, ce n'est pas l'alternance, c'est une alternative.

AVEC NOUS, POUR VOUS, VOTEZ JOSE BOVE !

BANLIEUE-MONDE RURAL "Les réalités sociales sont les mêmes" en banlieue et dans le monde rural où les habitants sont confrontés à la disparition des services publics, a affirmé lundi le candidat antilibéral José Bové, qui a affiché l'ambition de son mouvement de présenter des candidats aux législatives de juin. "C'est cette même logique qui est à l'oeuvre dans les quartiers populaires et dans le monde rural. (...) C'est une France coupée en deux qui est en train de se construire", a dénoncé l'ancien porte-parole de la Confédération paysanne, lors d'un meeting à Vitry-sur-Seine sur le thème "du global au local". Selon le candidat, qui trouve souvent un accueil favorable dans les quartiers populaires, "les réalités sociales sont les mêmes": la fermeture des écoles, le manque de transports ou des bureaux de poste à la campagne fait écho à la dégradation des services publics installés dans les quartiers populaires, a-t-il observé. "Sans la jeunesse des quartiers populaires, il n'y aura pas d'avenir, mais sans les paysans il n'y aura rien à manger dans les quartiers populaires", a-t-il lancé aux quelques centaines de personnes rassemblées dans un gymnase. José Bové, dont la candidature est issue de la tentative de rassemblement antilibéral à la gauche du Parti socialiste, a ensuite promis que son mouvement présenterait des candidats aux élections législatives "partout où on pourra en présenter. "Et on n'arrêtera pas aux législatives", a-t-il poursuivi, évoquant la perspective de listes antilibérales aux municipales de 2008. "A partir de ce rassemblement, on est capable de s'inscrire dans la durée (...) pour que les choses changent en profondeur." "On fait ça pour construire une gauche digne de ce nom", a expliqué José Bové qui a partagé la scène avec d'autres responsables de sa campagne, issus du PCF, des Verts ou d'autres mouvements. Plus tôt, son directeur de campagne Jacques Perreux, du Parti communiste, avait affirmé qu'une "autre gauche est déjà en marche". S'opposant résolument à la droite et à Nicolas Sarkozy, José Bové a souhaité que la gauche l'emporte aux élections, mais a toutefois réservé quelques piques à la candidate socialiste. "Le programme de Ségolène Royal, c'est pas ma tasse de thé, c'est un programme tiède, fade, qui accompagne la logique libérale", a-t-il commenté. "Je n'ai pas beaucoup confiance dans ses capacités de transformation" de la société. Beaucoup interrogé sur les questions internationales, et notamment sur la situation au Proche-Orient, le candidat altermondialiste a aussi abordé les thèmes de l'écologie ou de la défense des immigrés. C'est en promettant de démanteler l'arsenal nucléaire français et d'en finir avec "cette bombe atomique dangereuse et inutile" qu'il a suscité le plus d'applaudissements








Courneuvepalestine

envoyé par yassine31415


Bové  transport gratuit
envoyé par souellen

Rencontre José Bové/Nicolas Hulot : Déclaration de José Bové.

Nous avons décidé Nicolas Hulot et moi-même de nous rencontrer ce vendredi 30 mars 2007.

Tous deux, nous avons été confrontés aux dégâts créés par la marchandisation de la planète au cours de nos nombreux déplacements à travers le monde. Tous deux nous avons pu constater la gravité de la crise écologique et les conséquences directes sur la vie de centaines de millions d’habitants de notre planète. L’eau, la terre, les forêts, les océans, la biodiversité sont menacés de destruction. Les biens communs de l’humanité sont en péril.

Pour ma part, je fais le diagnostic que dans leur folle course au profit, les politiques de l’OMC, du FMI et des firmes transnationales compromettent l’avenir de notre planète.

Ce sont dans les pays les plus pauvres de la planète, mais aussi dans les zones les plus défavorisées de notre pays que s’accumulent injustices sociales et environnementales.

C’est pourquoi l’écologie n’est pas compatible avec le laisser faire libéral. C’est pourquoi, nous faisons tous deux le constat que ce n’est pas une série de mesures techniques qui enrayera cette crise, mais bien la remise en cause de l’actuel modèle de développement fondée sur la croissance et le productivisme.

Nous avons déjà tous deux proposé quatre moratoires, l’un sur les OGM, les autres sur les projets autoroutiers, les incinérateurs et l’EPR pour agir immédiatement. Mais il faut aller plus loin. Nous rechercherons ensemble les réformes structurelles et les moyens adéquats à mettre en œuvre. Elles concernent la fiscalité écologique, une nouvelle politique de l’énergie fondée sur la sortie du tout pétrole et du tout nucléaire, le refus de la brevetabilité du vivant et des OGM, l’accès à l’eau pour tous et la garantie de sa qualité.

José Bové Le 30 mars 2007.


COMPTE RENDU COORDINATION DU 29 MARS

NOTES ET POINT DE VUE DE GILLES

 

Ordre du jour :

  1. Meeting du 4 avril
  2. Infos sur les meetings prévus à Vézenobre et Bessèges
  3. Collages et distribution
  4. Points divers (en fait complément du point 2 autres meetings prévu dans le département)
  5. Législatives
  6. 2e tour
Meeting du 4 avril

La salle sera à disposition de 15h à 23 h.

Pas de diffusion en direct sur internet car un autre meeting à lieu au même moment avec José mais il sera possible de diffuser la vidéo ensuite.

· De 15h à 19h Installation

Il est prévu des tables pour les associations et les initiatives ou actions locales.

· De 19h à 20h15 point presse

· 20h15 20h30 Accueil

· A partir de 20h30 les interventions de chaque orateur (10’) suivi d’interventions d’associations ou de représentant des luttes en cours (3’).

Certaines associations, notamment les déboulonneurs de pub ne sont pas intéressé par une intervention de 3’, il leur sera rappelé la possibilité de disposer de tables et la durée pourra être négociée.

o Christophe Cavard sur la politique sociale
Intervenants comités de chômeurs ?

o Isabelle Barthélémy  sur les banlieues et l’immigration
Card (résistance à la délation)

o Tarek ben Hiba

o Christian Sunt sur agriculture et écologie
Confédération paysanne ?

o Laurence Kalafatides sur la mondialisation
Représentants des luttes de Well, Pleyel, France Telecom ?

o Raoul Marc Jennar sur l’Europe

Meetings locaux

· Saint Hilaire de Brethmas le 19/4/07 : projection et débat sur les OGM avec Nicolas Dentz

· Vezenobres le 17/4/07 de 18h ou 18h30 à 21h

· Bessèges le 13/4/07 avec des agriculteurs / résistance en milieu rural

· Nîmes problème de lieu, réunion en direction de s étudiants au Haddock Café

· Aubais

· Saint Côme

· Vergèze

Deux taux de chômage, la France ridicule !

Par Hervé Nathan, rédacteur en chef à Marianne.

 

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Breton démission ! Un tel slogan ne serait pas absurde à cinq semaines de l'élection d'un président de la République, on l'entonnerait bien volontiers. Car la France est ridicule, dotée qu'elle est de deux chiffres officiels du chômage. Celui de l'Insee (8,4% en février 2007), dont on sait qu'il est sujet à caution, et celui d'Eurostat, l'office européen des statistiques (8,8% à la même date). Pour la statistique hexagonale, qui se targue d'être une des meilleures du monde depuis 1945, on ne pouvait faire plus humiliant.

La comédie bouffe était attendue, depuis que l'Insee a repoussé de six mois la publication de son enquête annuelle sur l'emploi, qui sert à « recadrer les chiffres mensuels du chômage », provoquant l'émoi chez les économistes. Les chercheurs de la Dares (ministère de l'Emploi) ont même voté une motion de défiance vis-à-vis de leur hiérarchie, et proposé de ne plus publier le fameux chiffre.

Les spécialistes ne sont pas déçus : Eurostat, ce qui est exceptionnel, a redressé les chiffres officiels français, en se basant d'ailleurs sur une partie des travaux de l'Insee. Manière de dire : « vous voyez, ce n'est pas si compliqué… »

La décision d'Eurostat est une gifle pour l'Insee et aussi pour le ministre de tutelle de l'Institut national de la statistique et des études économiques, Thierry Breton. Car si l'Insee, et son directeur Jean-Michel Charpin, revendiquent leur indépendance, il appartient quand même au ministre de l'économie et des finances de faire en sorte que les informations publiques soient fiables et disponibles, et qu'elles ne soient pas contestées par les autorités européennes. Accessoirement, le ministre Thierry Breton préside le Conseil national de l'économie statistique (CNIS), chargé d'orienter le travail de l'Insee.

Il n'y aura (probablement) pas de démission avant le 6 mai. En attendant, le gouvernement, au lieu de pérorer sur « le chômage-au-plus-bas-depuis-1983-grâce-à-son-action-résolue », devrait admettre que le chômage au sens du BIT en France est compris dans une fourchette, qui va de 8,4% à 8,8% de la population active. Un simple communiqué suffit. Le plus vite sera le mieux, car il serait intolérable d'attendre les élections !

Et pour l'avenir, il serait bon, et utile au débat public, qu'il n'y ait plus un seul, mais plusieurs indicateurs du sous-emploi en France, qui permettent de mesurer non seulement le chômage, mais aussi le précarité, le temps partiel contraint, le taux d'activité, etc… Car le sous-emploi de masse s'est tellement enkysté dans la société qu'utiliser un seul critère pour l'estimer est devenu trompeur ….

Plus d'infos sur Marianne2007.info


    
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